Amour à mort à la Cité Bleue : la force de la création

Mariana Flores, d’abord, qui donne sa voix à l’ensemble mais aussi à Clorinde qu’elle manie parfois comme une marionnette, de même que le fait Andreas Wolf avec Tancrède.

Lors de la présentation de saison de la Cité Bleue, le jeu du hasard avait placé le spectacle Amour à mort comme le premier à être présenté. Ce théâtre musical, oeuvre hybride entre madrigal, opéra et intermède, trouve ses racines dans La Jérusalem délivrée de Torquato Tasso pour livrer les amours malheureux de Clorinde et Tancrède.

Le spectacle est une création qui sera reprise en janvier à l’Opéra national de Lorraine – dont le directeur était justement présent à Genève ce weekend pour la Première du spectacle. Si l’œuvre de Tasso est à l’origine de cette création, elle laisse entendre de nombreux compositeurs qui ont eux aussi trouvé l’inspiration dans La Jérusalem délivrée : Monteverdi, Dufay, Sigismondo d’India, Francesco Neri, Bach, Marenzio, Massaino, Antonio il Verso, Giovanni Boschetto Boschetti ou encore Antonio Cifra.

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